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12 décembre 2014

ARTICLES SANTE

 

ARTICLES SANTE

 

* Acupuncture (Arsitra.org)

* la Bourde du sida (Arsitra.org)

* les Patients "cobaye" (Arsitra.org)

* Homéopathie: L'académie de médecine contre l'oméopathie

                                Décès du docteur J. Benveniste

                                Homéopathie: réactions épidermiques

* La résistance aux antibiotiques au fond de nos verres

* Attention aux fours à micro-ondes

* La colère des psychanalystes

* Psychothérapie: la réglementation dangereuse

* Nouvelles thérapies du cancer dans Version Femina (7/07/02): "Cancers, nouveaux traitements, nouveaux espoirs". 3 colonnes d'interview du professeur K. dans un congrès international. (extraits)

* Bronzer à travers une vitre (Arsitra.org)

* Faites l'amour...! (bon à savoir...!)

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Eclairage sur l'acupuncture

Une équipe de l'Université Kyong Hee a établi un lien
entre l'acupuncture du genou et la secretion
par le cerveau de cytokine,
une protéine connue pour renforcer l'immunité.
En Corée et à l'Université Kyong Hee en particulier,
des équipes multidisciplinaires
(biologie moléculaire, physique, électrochimie)
cherchent à déterminer quelle partie du cerveau
est stimulée par l'acupuncture.
Le Pr Lee Yong-Ho du Korea Research Institute
of Standard and Science est en train
de mettre au point un dispositif d'imagerie
basée sur l'interferometrie quantique supraconductive
pour visualiser les zones actives du cerveau
d'un patient sous acupuncture.

revuedepresse@ml.free.fr

 

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La bourde du Sida

En première page du " Mail & Guardian ",
Johannesburg, Afrique du Sud, le 24 janvier, 2001
Par David Rasnick, PhD
Membre du Comité Consultatif de Thabo Mbeki, Afrique du Sud

"L'hypothèse selon laquelle le SIDA est une maladie contagieuse causée par le VIH est la plus grande bourde scientifique du XXe siècle. De toute évidence, le SIDA n'est pas une maladie contagieuse, ne se transmets pas sexuellement, et n'est pas causée par le VIH. Je suis arrivé à la conclusion que l'embarras est l'obstacle majeur qui s'oppose à la reconnaissance de ces faits.
Pourquoi sommes-nous confrontés, presque quotidiennement, par cette litanie sans fin et par toutes les horreurs des statistiques portant sur le VIH ?
Comment se fait-il que pratiquement tous les médecins et officiels de la selon laquelle le SIDA est contagieux et transmis sexuellement, alors que toute l'évidence est là pour nous prouver le contraire ?
Plusieurs centaines de milliers de médecins et de scientifiques ont construit leur carrière et leur réputation en acceptant docilement les divers éléments du dogme du SIDA. Et après toutes ces années, la gène et l'embarras sont les obstacles majeurs interdisant de mettre simplement un point final à cette folie du SIDA. C'est la peur d'être si manifestement et désespérément dans l'erreur qui maintient les bouches cousues et qui perpétue le flot de crédits de recherche, alors que la rhétorique sidéenne atteint des sommets stratosphériques d'absurdité.
Les médecins qui sont au courant ou qui se doutent de la vérité sont et effrayés par l'idée d'admettre que les médicaments anti-rétroviraux sont très nuisibles aux patients et peuvent parfois les tuer. On nous dit d'avoir peur des anticorps, et de croire que les anticorps annoncent la maladie
Et la mort dans les dix années à venir. Mais lorsque vous vous insurgez devant de telles absurdités et faites remarquer
Aux officiels de la santé que les anticorps sont l'essence même de l'immunité anti-virale, vos objections se heurtent soit au mépris, soit à un silence embarrassé. .
Le "National Institute of Health", le "Centers for Disease Control", le "Medical Research Council" d'Afrique du Sud, ainsi que l'Organisation Mondiale de la Santé terrorisent des centaines de millions de gens tout autour du monde par leur politique irresponsable et absurde qui identifie l'activité sexuelle et la mort. Le souci de survie de ces institutions les pousse non seulement à perpétuer leurs erreurs mais encore à les aggraver, ce qui augmente encore la peur, la souffrance et la misère du monde, un résultat qui est exactement l'inverse des raisons pour lesquelles ces institutions ont été crées.
Pour nous libérer de cette bourde du SIDA et mettre un terme à la tyrannie de la peur, la seule manière est d'ouvrir un débat international sur tout ce qui concerne le SIDA. Bien sûr, la colère sera une réponse normale en face de l'énormité du scandale. Cette colère est prévisible, mais elle devra être mise rapidement de côté. C'est une erreur de pointer du doigt les affreux coupables et ceux qui doivent être puni. L'affaire du SIDA est un phénomène social dans lequel nous avons tous une part de responsabilité.
Finalement, la bourde du SIDA dépasse le cadre du SIDA lui-même ainsi que celui de la santé publique et de la science médicale. Cette bourde concerne également la santé de nos démocraties. Une démocratie saine implique que ses citoyens gardent l'oeil critique, presque soupçonneux sur les
Institutions afin d'éviter que celles-ci ne deviennent les régimes autonomes et autoritaires que nous connaissons aujourd'hui.
La bourde du SIDA est là pour nous montrer le besoin de re-penser et de re-structurer nos institutions gouvernementales, les sciences académiques, la presse et les média. Il faudra remplacer le National Institute of Health qui contrôle la distribution des crédits de recherche par des sources de crédits plus nombreuses et compétitives. Il faudra re-structurer le système de critique des publications scientifiques ainsi que celui des répartitions des crédits de recherche afin d'éviter de promouvoir ou de protéger certains dogmes ou modes de pensée qui excluent les idées controversées. Une couverture complète et impartiale de la recherche doit être fournie par la presse dont le rôle doit être soutenu, récompensé et protégé.
Enfin, comme citoyens, nous devons reprendre le contrôle et la responsabilité de notre santé et de notre bien-être ainsi que celui de nos démocraties."

Traduction du Pr. Etienne de Harven - Membre du Comité Consultatif de Thabo Mbeki, Afrique du Sud)


(c) 2002-2003 arsitra.org

 

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ARTICLE SUR LES NOUVELLES THÉRAPIES DU CANCER

Lu dans Version Femina (7 juillet 2002),
magazine annexé au Journal du dimanche,
vendu à des centaines de milliers d'exemplaires.

   
  "Cancers, nouveaux traitements, nouveaux espoirs".
3 colonnes d'interview du professeur K. dans un congrès international,
sur les grands espoirs, puis,

Question: " Une mise en garde a été lancée:
80% des malades utiliseraient des herbes, de l'homéopathie,
des grigris en tout genre, qui parfois peuvent faire beaucoup de mal..."

Réponse: "La situation devient inquiétante. Des malades se tournent vers les médecines alternatives, les gourous, la magie. Le problème est double. D'une part, ceux qui se soignent chez des charlatans et qui ne bénéficient pas de traitements efficaces, ou qui du moins prolongent la vie. D'autre part, des malades, qui bien qu'hospitalisés, utilisent parfois des produits comme le thé vert, les gélules d'extraits de plantes, les hormones qui ne disent pas leur nom, sans en parler à leur médecin.(et pour cause!) Or ces produits peuvent interagir avec le traitement, se montrer toxiques, voir sensibiliser le malade aux rayons, comme l'ont démontré certaines études."

Comme chacun sait, le thé vert est est extrêmement dangereux.
80%..., la situation est effectivement inquiétante, mais pour qui?

 

 

  CORRECTIONNELLE

Le bon docteur transformait ses patients en cobayes

Marseille : José d'Arrigo [02 juillet 2002]

« Moi, je n'ai jamais été malade du côlon. De ce côté-là, tout va bien, Dieu merci. Je suis allé voir le médecin pour m'arrêter de fumer et il m'a donné des gélules à prendre pendant deux mois. Je ne savais pas qu'il m'administrait en réalité un traitement destiné à soigner un côlon irritable. » Cette patiente de 55 ans, est scandalisée par la désinvolture de son généraliste, le Dr Gilbert Méridjen, 49 ans, qui lui a prescrit des médicaments à son insu pour en tester sur elle les effets. Et lorsqu'elle lui a confié qu'elle était toujours aussi dépendante du tabac, il lui a demandé de doubler les doses...
Le tribunal correctionnel de Marseille a estimé, hier, que ce médecin avait bel et bien trompé le « consentement éclairé » de nombreux patients et qu'il n'avait pas hésité à falsifier des dossiers médicaux pour gonfler le nombre de ses « cobayes ». Il a été condamné à deux ans de prison dont dix-huit mois avec sursis, ce qui va le contraindre à passer six mois derrière les barreaux. Ce jugement va au-delà des réquisitions du procureur de la République, Marc Cimamonti, qui avait réclamé, le 10 juin dernier, quatre ans de prison avec sursis à son encontre.
Le praticien peu scrupuleux a également écopé de cinq ans d'interdiction d'exercer et de 10 000 euros d'amende. Il appartiendra au Conseil de l'ordre d'apprécier à présent, l'opportunité d'une radiation.
Fils d'un médecin très estimé dont il avait pris la suite à Mallemort (Bouches-du-Rhône), le Dr Gilbert Méridjen n'a pas fait preuve, semble-t-il, de la même rigueur éthique que son père. Devenu chef d'entreprise à la tête de Point Medica, un laboratoire de recherche biomédicale, il s'est laissé griser par l'argent facile et s'est permis d'arranger à sa façon des protocoles expérimentaux préalables à la mise sur le marché de nouveaux médicaments. En cheville avec deux grands laboratoires pharmaceutiques, il avait recruté un nombre étonnant de « volontaires » présentant le « profil idéal ». La procédure judiciaire consécutive à l'audit réalisé par un de ces laboratoires a révélé que sur une quarantaine de patients, une dizaine seulement avaient clairement exprimé leur accord et que les autres étaient des cobayes « à leur insu ».
Le Dr Méridjen a ainsi perçu plus de 300 000 francs (46 000 euros) d'honoraires en six mois. Pour justifier sa curieuse démarche thérapeutique, il a invoqué « l'effet placebo » censé guérir ses patients de troubles qu'il ne soignait pas et il a mis en cause plusieurs de ses confrères qui n'y étaient pour rien.
Les victimes du bon docteur de Mallemort qui ont subi des séquelles physiques, par exemple démangeaisons ou constipation, ont engagé d'autres procédures devant le tribunal de Tarascon. Le procureur de la République a estimé qu'il convenait de punir ce médecin « par où il avait péché », c'est-à-dire en le frappant au portefeuille. Mais les juges lui ont aussi prescrit un petit séjour à l'ombre.

http://www.lefigaro.fr/france/20020702.FIG0084.html

 

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Décès du Dr Jacques Benveniste, père de la théorie de la "mémoire de l'eau"

4 Oct 2004

PARIS (AFP) - Le médecin et biologiste Jacques Benveniste, dont le nom est resté associé à une intense controverse née de sa théorie de la "mémoire de l'eau" en 1988, est décédé dimanche à Paris à l'âge de 69 ans, a annoncé sa famille lundi.Après avoir été chef de clinique à la Faculté de médecine de Paris, Jacques Benveniste se consacre très vite à la recherche en France et aux Etats Unis. Il rejoint en 1973 l'Inserm où il dirigera plusieurs unités. Il avait atteint une notoriété mondiale en 1970 avec sa découverte du PAF-Acether (Platelet Activation Factor), un mécanisme intéressant les allergies, et découvert une molécule majeure impliquée dans l'asthme.

 Il a été proche conseiller de Jean-Pierre Chevènement, lorsque ce dernier était aux commandes du ministère de la Recherche, de 1981 à 1983.

Le Dr Benveniste fait parler de lui le 30 juin 1988, lorsque le Monde, se fondant sur un article à paraître dans la prestigieuse revue britannique Nature et consacré à ses travaux, titre en Une: "Une découverte française pourrait bouleverser les fondements de la physique: la mémoire de l'eau".

Treize des confrères biologistes de Benveniste, français et étrangers, qui ont participé aux travaux, confirment et cosignent l'incroyable expérience publiée sous le titre: "La dégranulation des basophiles humains induite par de très hautes dilutions d'un anti-sérum-anti-IgE" (anti-immunoglobuline de type E, responsable de l'allergie NDLR).

En clair, le chercheur est parvenu à activer une cellule sanguine avec une solution d'eau contenant un anticorps totalement dilué. L'information biologique a donc été transmise en l'absence de molécule: "L'eau peut se souvenir", selon l'interprétation de Jacques Benveniste.

Cette découverte devait susciter une controverse scientifique d'une grande ampleur et pour finir, la revue Nature avait publié un rectificatif concluant que "l'hypothèse selon laquelle l'eau garderait la mémoire d'une substance qu'on y a diluée est aussi inutile que fantaisiste".

Le Dr Jacques Benveniste s'est pour sa part obstiné, et ses partenaires se sont mobilisés dans une société, la SA DiGiBio constituée en 1997, lui permettant de financer ses recherches.

 

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Les archives de l'Humanité                  

  

TRIBUNE LIBRE

Homéopathie, réaction épidermique, suite.

 

L’article du Dr Elle Arié, cardiologue, paru dans l’Humanité du 20 septembre 2004, me fait réagir. Non pas parce qu’il critique l’homéopathie, j’ai écrit dans mon dernier livre toute la sympathie que j’avais pour les sceptiques. Si je n’étais pas « né dans les granules », je serais sûrement sceptique.

 Je suis seulement choqué et agacé par le peu de conscience professionnelle de ces soi-disant experts qui prennent le peuple pour des « gogos » et leurs confrères pour des naïfs ou des charlatans. Et qui critiquent ce qu’ils ne connaissent pas sans chercher vraiment à s’informer. Si l’homéopathie ne marchait pas, comment expliquer tous ces malades (300 millions dans le monde) et tous ces médecins (150 000 dans le monde, 15 000 en France) qui l’utilisent couramment ? Comment le donneur de leçon peut-il imaginer que tant de médecins, de pharmaciens, de scientifiques se sont succédé depuis deux cents ans sans approfondir la question de l’infinitésimal ? Tant de mépris est navrant, aussi bien pour le coeur que pour l’esprit. En réalité, plusieurs centaines d’essais cliniques ont été publiés depuis vingt ans dans de grandes revues scientifiques et ils montrent en général l’intérêt des médicaments homéopathiques. Et pourtant, loin de moi l’idée de faire du « cocorico », l’homéopathie est bien loin de tout soigner, ni tout le monde, ni tout le temps. Nous avons bien des échecs, bien des faiblesses. À commencer par ce mécanisme des dilutions infinitésimales que nous ne comprenons toujours pas. Ce qui ne nous empêche pas de constater et de démontrer l’efficacité d’un certain nombre de médicaments homéopathiques dans un certain nombre d’affections. Le jour où cessera ce mépris, cet ostracisme de ceux qui croient tout savoir, alors nous pourrons développer les investigations et effectivement trier le bon grain de l’ivraie. Mais je crois qu’il serait bon que chacun balaye devant sa porte. Moi, j’y passe l’essentiel de mon temps. Christian Boiron

 

Article paru dans l'édition du 21 octobre 2004.

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  Ne pas chauffer de l'eau seule dans un four à micro ondes!

" Il y a environ cinq jours, mon fils de 26 ans a décidé de prendre une tasse de café instantané. Il a pris une tasse d'eau et l'a mise dans le four micro-onde pour la réchauffer (ce qu'il fait régulièrement). Je ne suis pas certain combien de temps il a mis sur la minuterie, mais il m'a dit qu'il voulait l'amener à ébullition. Lorsque la minuterie s'est arrêtée, il a enlevé la tasse du four. En prenant la tasse, il a noté que l'eau ne bouillait pas. Soudainement l'eau dans la tasse a "explosé" dans son visage.
La tasse est demeurée intacte jusqu'à ce qu'il la jette hors de ses mains, mais l'eau lui a sauté au visage à cause d'une accumulation d'énergie. Il a des cloques partout dans le visage et a subi des brûlures au premier et deuxième degré qui resteront possiblement marquées. De plus, il a perdu partiellement la vue de son oeil gauche. Lorsque arrivé à l'hôpital, le médecin qui le traitait a mentionné que c'est un fait courant et que l'eau (seule) ne devrait jamais être réchauffée au four micro-onde. Si on doit le faire de cette manière, quelque chose devrait être introduit dans la tasse, tel un bâton de bois ou une poche de thé (sans agrafe) afin de diffuser l'énergie.
Voici ce que notre professeur de science avait à dire sur le sujet:
"Merci pour l'avertissement sur les micro-ondes. J'ai déjà constaté ce genre d'évènement dans le passé. C'est causé par un phénomène connu sous le nom de sur-échauffement. Ça se produit lorsque l'eau est chauffée et particulièrement lorsque le contenant est neuf. Ce qui se produit c'est que l'eau se réchauffe plus rapidement que les bulles de vapeurs peuvent se produire. Considérant que les bulles ne peuvent se former et dégager la chaleur accumulée, le liquide ne bout pas, et se réchauffe et dépasse son point d'ébullition. Ce qui se produit par la suite, c'est que l'eau est déplacée soudainement, ce qui est un choc suffisant pour causer la création rapide de bulles qui expulsent l'eau chaude.
La formation rapide de bulles est également la raison pour laquelle des liqueurs carbonisées se déversent lorsque brassées avant de les ouvrir."

 

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Peut-on bronzer à travers une vitre?

 

François Mathieu-Potvin

 

freezeman@moncourrier.com

 

Le verre laisse passer la lumière visible, dont les longueurs d'onde se situent entre 400 et 800 nanomètres. Le verre est transparent pour ces longueurs d'ondes, car les électrons des atomes qui composent le verre – essentiellement du silicium, de l'oxygène et du calcium – ne peuvent pas absorber les photons de la lumière visible pour passer à un état d'énergie plus élevé. Par conséquent, les photons traversent le verre sans encombre.
Les rayons ultraviolets ont une longueur d'onde variant de 10 à 400 nanomètres. Le verre ordinaire bloque les rayons dont la longueur d'onde est inférieure à 300 nanomètres. Il bloque donc la majorité des rayons UV, mais laisse passer ceux dont la longueur s'approche de 300-400 nanomètres. Ces rayons UV sont moins nocifs que ceux qui sont plus courts et plus énergétiques, mais il demeure possible de bronzer, voire d'attraper un léger coup de soleil, si on est exposé durant une longue période. Comme les lotions solaires, le verre protège du soleil mais pas parfaitement.
Comme on s'en doute, pour les lampes des salons de bronzage, on n'emploie donc pas du verre ordinaire. On a plutôt recours au quartz ou à du verre spécial transparent aux rayons UV. Et c'est pourquoi les lampes solaires endommagent autant la peau que le soleil...

 

http://www.cybersciences.com/Cyber/2.0/Q4387.asp

 

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Bon à savoir... Faites l'amour !!!

Pensez-y....

Saviez-vous que d'après la peau, nous pouvons dire si une personne est sexuellement active ou pas ?

1. Le sexe est un traitement de beauté. Les tests scientifiques ont montré que les femmes qui ont des rapports sexuels produisent un grand nombre d'hormones oestrogène.
Cette hormone rend les cheveux brillants et donne la peau douce.

2. En douceur, les bons rapports sexuels réduisent les chances de souffrir de dermites, démangeaisons, et imperfections cutanés. La transpiration nettoie les pores et rend la peau resplendissante.

3. Faire l'amour fait brûler toutes les calories que vous avez pris pendant votre repas romantique.

4. Le sexe est l'un des sport le plus sur que vous pouvez pratiquer.
Il étire et tonifie tous les muscles du corps. C'est bien plus plaisant que de nager 20 longueurs !

5. Le sexe est une cure instantanée contre les petites dépressions. Il fait circuler l'endorphine dans le système sanguin, produisant un sens d'euphorie et vous laisse avec un sentiment de bien-être.

6. Plus vous avez des rapports, plus vous en redemanderez.
Le corps sexuellement actif dégage une très grande quantité de toxines appelée "phéromone". Ce parfum sexuel rend votre partenaire complètement fou !

7. Le sexe, est le plus sûr des tranquillisant au monde !
Il est 10 fois plus efficace que le Valium.

8. S'embrasser chaque jour, évite d'aller chez le dentiste !
S'embrasser augmente la quantité de salive qui nettoie la nourriture de votre bouche, réduit le taux d'acide qui donne les caries, et prévient la production de la plaque dentaire.

9. Le sexe soulage les maux de tête. Le rapport sexuel peut réduire la tension qui réduit les vaisseaux sanguins du cerveau.

10. Beaucoup de rapports sexuels peuvent déboucher le nez.
Le sexe est un naturel antihistaminique. Il combat l'asthme et le rhume des foins.


Faites donc l'amour !!!!!-------

 

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